Le respect des normes, figurant ci-après, fait partie intégrante des critères pour la sélection des projets de communications.
Chaque projet de communication précisera sur une page – dite de présentation – le titre de la communication, l’auteur (ou les auteurs), son (leurs) titre(s), le rattachement scientifique et/ou le lieu d’exercice, l’adresse, le téléphone et l’e-mail (comme indiqué précédemment).
La page suivante reprendra le titre de la communication, le résumé, puis suivront le corps du texte et les références bibliographiques.
Marges (mise en page A 4, par défaut)
- Haut : 2,5 cm
- Bas : 2,5 cm
- Gauche : 2,5 cm
- Droite : 2,5 cm
- Reliure : 0 cm
- En-tête : 1,25 cm
- Pied de page : 1,25 cm
Il est demandé aux auteurs d’employer avec beaucoup de prudence les sauts de sections (pour éviter les problèmes de pagination ou de formatage des actes du colloque).
Taille des communications
20 pages au maximum (simple interlignage ; graphiques et références bibliographiques comprises).
Ce volume de 20 pages ne comprend pas la page de présentation mentionnant le titre et le nom de(s) l’auteur(s).
Important : si un auteur pense devoir dépasser cette limite, il peut être judicieux de réfléchir à l’opportunité de proposer deux projets de communication. Ce qui permettrait de développer des argumentaires sur 40 pages (au maximum).
Interlignage
Simple (corps du texte, encadrés, annexes).
On peut utiliser (mais sans un quelconque caractère d’obligation) un retrait positif pour la première ligne de chaque paragraphe (taille égale à 1 cm).
Police de caractères
Titre de la communication : Times Roman en taille 14, texte centré, caractères gras (pas de capitales).
Mention du(des) prénom(s) et du(des) nom(s) de(s) l’auteur(s) : Times Roman en taille 12, texte centré, caractères gras et en italique (pas de capitales).
Mention de(s) la fonction(s) et du(des) rattachement(s) scientifique(s), Mention du(des) lieu(x) d’exercice principal(principaux) et de son(leurs) adresse(s), Mention du(des) téléphone(s) et de(s) l’e-mail (s) de(s) l’auteurs(s) : Pour ces trois mentions, le format est le suivant : Times Roman en taille 12, texte centré.
Après l’introduction, les sous-titres « principaux » dans la communication respecteront une police de taille 12 (caractères gras ; pas de capitales).
Plus généralement, les sous-titres respecteront la hiérarchie suivante :
1.
1.
1.1.1.
- Les numéros 1., 2. ou 3. correspondent aux sous-titres « principaux » (en caractères gras).
- Les numéros du type 1.1. ou 1.2. seront donc en caractères gras et en italique.
- Les numéros du type 1.1.1. ou 1.1.2. seront alors simplement en italique. Pas de « décalage vers la droite » entre les sous-titres.
Corps du texte : Times Roman en taille 12, texte justifié.
NB : éviter un emploi répété des caractères gras (et plus encore des caractères soulignés) dans le corps du texte.
Les citations d’auteurs dans le corps du texte sont du type (Daucé et Rieunier, 2002, p. 55) ou (Brunel et Pichon, 2002 ; Cazes-Valette, 2001 ; Sirieix, 1999, 2000 et 2001). S’il faut mentionner plus de trois auteurs, il conviendra de retenir la présentation suivante (Dayan et al., 1992).
La présentation complète des auteurs (quel que soit leur nombre) figurera, quant à elle, dans les références bibliographiques (voir plus loin).
Résumé
4 à 10 lignes.
Mots clés
Limitation à un effectif de 8.
Notes de bas de page
Format : Times Roman en taille 10, texte justifié.
Limitation des notes de bas de page au strict nécessaire.
En effet, un volume plus important d’explications peut trouver sa place au sein d’encadrés (et donc dans le corps du texte). De plus, il ne faut pas mentionner le détail des références bibliographiques (qui figurent déjà à la fin de la communication). Il y aura lieu de ne mentionner que des références comme celles figurant dans le corps du texte. Par exemple, Germain (1999, p. 200).
La présence de ces notes de bas de page exclut absolument l’existence de notes en fin de communication.
On ne doit pas sauter de lignes entre les notes de bas de page.
Les appels pour les notes de bas de page, figurant dans le texte, doivent être positionnés « en exposant » et doivent avoir le même corps que le texte des notes (police 10).
Numérotation des pages
Bas de page, positionnement « extérieur » (police 10).
Encadrés, cartes et graphiques
Ils sont intégrés au sein du texte (et ne sont donc pas renvoyés à la fin du texte).
Il est nécessaire d’utiliser le format Jpeg pour les documents photographiques inclus dans le texte de la communication (ce qui suppose de ne pas employer des formats « trop lourds » comme le format BMP ou le format TIFF).
Les formats « exotiques » ou différents de ce qui a été évoqué sont proscrits.
Les encadrés, cartes, figures et graphiques doivent avoir :
- un titre (police de taille 12, texte centré, pas de caractères gras),
- être numérotés (s’il y en a plusieurs successivement)
- et préciser leur source s’il y a lieu.
Tableaux : la police de caractères variera de 10 à 12 selon la place attribuée aux données. Seuls les tableaux les plus significatifs doivent figurer.
Annexes
Il faut veiller à en limiter strictement leur nombre (volume de la communication fixé à 20 pages, rappelons-le…). Celles, qui sont jugées indispensables, accueillent les développements ne figurant pas dans les notes de bas de page et les encadrés du corps du texte. Ces annexes auront un titre et seront numérotées chronologiquement. Toute annexe devra préciser sa source s’il y a lieu.
Références bibliographiques
D’une manière générale, il ne faut mentionner que les références bibliographiques strictement concernées par l’objet de la communication et donc citées au sein du texte. Il faut donc éviter de créer, à côté des références bibliographiques, une « bibliographie » complémentaire.
Pour un ouvrage
IGALENS J. et QUEINNEC E. (dir.) (2004), Les ONG et le management, Paris, Vuibert, Coll. Institut Vital Roux.
MADU C.N. et KUEI C.H. (1995), Strategic Total Quality Management: Corporate Performance and Product Quality, Westport, Quorum Books.
Pour un article
GALLOPEL K. (2000), « Communications affective et symbolique de la musique publicitaire : une étude empirique », Recherche et applications en marketing, vol. 15, n° 1.
HERMEL P. (1997), « The New Faces of Total Quality in Europe and the US », Total Quality Management, vol.8, n° 4.
Pour une contribution dans un ouvrage collectif
MARTINET A.C. (2001), « Epistémologie de la connaissance praticable : exigences et vertus de l’indiscipline », dans David A., Hatchuel A. et Laufer R. (dir.), Les nouvelles fondations des sciences de gestion : éléments d’épistémologie de la recherche en management, Paris, Vuibert, Coll. FNEGE.
JUDD C.M. et KROSNICK J.A. (1989), « The Structural Bases of Concistency among Political Attitudes: Effects of Political Expertise and Attitude Importance », dans Pratkanis A.R., Breckler S.J. et Greenwald A.G. (dir.), Attitude Structure and Function, Hillsdale, NJ, Erlbaum.
Pour une communication lors d’un colloque
HENSLER D.A. (2001), « Innovation and Increasing Returns: Knowledge, Markets, Corporation and Imagination », Proceedings of the 5th International Research Conference on Quality and Innovation Management, University of Melbourne, 12-14 February.
Pour une thèse de doctorat (ou un mémoire)
TOURTOULOU A.S. (1996), Marques nationales, marques de distributeurs et premiers prix : effets de leur mise en avant sur les ventes et la structure concurrentielle de la catégorie de produits, Thèse de doctorat en sciences de gestion, Ecole HEC, Jouy-en-Josas.
HERAULT S. (1999), Etude des processus de formation de l’attitude envers la marque : un essai de modélisation intégrant une variable psychologique, la confiance en soi, Thèse de doctorat en sciences de gestion, Université Paris I, Paris.
Attention : il n’y a pas de retrait (positif ou négatif) dans la présentation des références bibliographiques. Elles se suivent à l’image des exemples précédents.